L'Institut National des Hautes Études de la Défense Nationale à l'UBS

Cyber : l'Institut National des Hautes Études de la Défense Nationale fait étape à l'Université Bretagne SudL’Université Bretagne Sud a accueilli le 10 décembre 2021 la 4ème promotion du cycle "Cybersécurité " de l'Institut des Hautes Études de la Défense Nationale (IHEDN). Une soixantaine d'auditeurs composés de chefs d'entreprises, élus, militaires, représentants du Ministère, venus de toute la France ont pu découvrir les équipements et formations proposés à l'UBS en matière de cyber.

Cette 4eme promotion "Cybersécurité et souveraineté numérique" (SNC4) de l'IHEDN, dont les membres ont été strictement sélectionnés parmi de nombreuses candidatures, ont ainsi fait étape à l'UBS dans le cadre de leur formation nationale proposée par l'Institut des Hautes Études de la Défense Nationale. Issus de milieux professionnels très divers, ces auditeurs de toute la France sont venus découvrir, sur le campus de Vannes, les compétences de l'UBS en matière de cybersécurité. Des compétences en cybersécurité qui s'appliquent en outre à différents domaines, tels que l'informatique, le droit ou encore l'électronique.

Une riche programmation pour un Institut national de prestige

Le vendredi 10 décembre c’est ainsi toute la promotion SNC4 de l’IHEDN qui s’est déplacée jusqu’à Vannes, à l’École Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Bretagne Sud (ENSIBS). Accueil normalement prévu en 2020, il a pu être malgré tout organisé et maintenu à la fin de l’année 2021. Reçus dès 15h au sein de l’amphithéâtre de l’ENSIBS par la présidente de l’UBS, Virginie Dupont et Yves Grohens, l’ensemble des participants ont été répartis par groupe sur des ateliers aux thématiques diverses. Cette demi-journée s’est ensuite achevée par un temps d’échange et de discussion autour du thème « les femmes et la cybersécurité ». Des « îlots » étaient également installés dans le hall de l’école pour présenter aux auditeurs des thèmes majeurs dans la connexion « formation-recherche-innovation » développée au sein de l’UBS, tels que celui de la « Cybersécurité de l’usine du futur ».

Les objectifs de l’UBS étaient notamment la mise en avant de son savoir-faire en matière de cybersécurité, grâce aux formations qu’elle propose mais également à travers la recherche, tournée vers l’Innovation. Le deuxième atelier présenté aux auditeurs s’appliquait par exemple à présenter deux Diplômes Universitaires (DU) proposés par l’UBS, tels que le DU « Cyberdéfense des TPE/PME » crée au profit de la Gendarmerie Nationale. Les participants ont également pu assister à un scénario de gestion de crise réalisé par des étudiants de l’ENSIBS au sein du Cyber Security Center.

Une expertise cyber reconnue

Étaient présents lors de l’événement les nombreux membres de la SNC4 de l’IHEDN, issus de divers milieux, tels que celui de l’industrie, du militaire, des collectivités et des élus, mais également du secteur juridique ou encore de l’enseignement supérieur. Ainsi, des représentants de Naval Group, de l’entreprise EDF, L’Oréal ou encore Microsoft par exemple, mais également du groupe Airbus ou des différents ministères du Gouvernement français, ont pu assister aux ateliers et aux échanges dispensés par les membres de l’UBS.

 

Déjà sollicitée par certaines entreprises à la suite de cette journée d’accueil, l’UBS a pu comptabiliser de très bons retours concernant les présentations et ateliers qu’elle a organisé. « On a eu des retours vraiment très positifs sur la journée et l’IHEDN a demandé à revenir ici l’an prochain sur une journée complète cette fois » affirme Guy Gogniat, enseignant-chercheur à l’UBS, membre de l’organisation de cette journée d’accueil.

 

« Quand l’IHEDN veut revenir à Vannes, c’est l’État français qui souhaite revenir sur le campus de l’UBS » indique Guy Gogniat.

 

S’ajoutant à la création du nouveau master international CYBERUS de l’UBS dédié à la cybersécurité, cette nouvelle reconnaissance des compétences de l’université en matière de cyberdéfense permet la récompense des efforts intenses de ses membres pour rendre visible en France et dans le monde, le savoir-faire et l’expertise de cette « université de territoire ».