Bourse de mobilité internationale

La Fondation UBS attribue 4 bourses de mobilité internationaleElle a attribué pour la première fois des bourses de mobilité internationale à des étudiants en poursuite d’étude à l’étranger. Cette attribution a été possible grâce à un don de particulier et à une subvention issue de la réserve parlementaire du Sénateur Joël Labbé.

Jean-Marc Bienvenu, Président de la Fondation a officialisé son soutien à la mobilité internationale par l’attribution de bourses à quatre étudiant-e-s de l’Université Bretagne Sud (UBS).

 

Mexique, Danemark et Norvège, 4 étudiants de l'Ecole d'Ingénieurs (ENSIBS) et de la Faculté de Sciences et Sciences de l'Ingénieur ont mis le cap sur des universités partenaires de l'UBS. Ils ont partagé leur satisfaction d’avoir fait le choix de poursuivre leurs études à l’étranger, et certains envisagent déjà de prolonger leur séjour.

 

  • Marie, master 2 génie civil, étudiante à l’ ITESO Guadalajara Mexique

« Avant d’arriver dans ce pays j’avais pleins d’appréhensions, pleins de clichés sur le pays. Mais en arrivant à Guadalajara, troisième plus grande ville mexicaine, mes craintes se sont estompées. Cette ville est merveilleuse, car c’est une ville étudiante cosmopolite ou plusieurs cultures s’entrechoquent. Les rues de Guadalajara sont pleines de gens riches d’une générosité incroyable, même les plus démunis seraient prêts à vous aider s’ils vous voyaient dans le besoin. »

  • Benoit, Licence 3 Sciences appliquées écologie et société, étudiant à Facultad de las Ciencias Forestales, à Durango Mexique

« Pour le cours de management des résidus solides, nous sommes en ce moment sur un prototype de bio-digesteur. Le principe est simple : se procurer les excréments d’animaux, ajouter de l’eau, garder le tout dans une citerne hermétique. En 10 jours nous obtenons (en théorie pour le moment) du gaz de ville, et du fertilisant. Un processus normalement sans aucune odeur. Nous travaillons ainsi au Mexique : nous avons une idée, nous la mettons en place, et tout le monde suit, apportant ses idées et sa contribution. »

  • Kévin, Master 2 mécatronique, étudiant à Aalborg University à Aalborg DANEMARK

« Le Danemark bénéficie d’une réputation de pays « vert », et ayant comme futur projet professionnel de travailler dans les énergies renouvelables je pense que le choix du Danemark était évident. De plus, la pratique du handball y est très développée, j’ai trouvé une équipe qui joue à un niveau plus élevé que mon équipe en France. Par contre, moi qui étais habitué à être dans les plus grands joueurs je me retrouve à être le plus petit !. »

  • Mathilde, licence 3 Biologie-environnement, étudiante à Hamar NORVEGE

 « Je suis trois cours : bioprocess technology (axé sur la fermentation et les techniques d’analyse), biologie moléculaire et biochimie. Le premier comprend, en plus des cours, cinq travaux pratiques en laboratoires. L’approche n’est pas du tout la même qu’en France, et nous sommes bien plus dépendants dans nos démarches, même si les professeurs restent disponibles pour d’éventuelles questions. Après chaque travail en laboratoire, un rapport individuel d’une quinzaine de pages est à rendre, en anglais bien sûr.

 

 

Légende photo : le Sénateur Joël Labbé reçu à l'université par Jean Peeters, Sandra Vessier et Jean-Marc Bienvenu, président de la fondation.